Prévues pour 2021, les élections pour la présidence de la CAF ont fait couler beaucoup d’encre ces derniers jours.
Alors que l’actuel président, Ahmad, a indiqué ne pas avoir encore décidé s’il va briguer un nouveau mandat, la guerre des coulisses a déjà commencé pour les prétendants à la succession d’Ahmad Ahmad à la tête de la CAF.
Le Malgache a été élu le jeudi 16 mars 2017 à Addis-Abeba, président de la Confédération africaine de football (CAF) lors d’une élection qui l’opposait au Camerounais Issa Hayatou, qui dirigeait l’organisation depuis 1988. Il a battu Issa Hayatou par 34 voix contre 20. Le président de la CAF est élu pour un mandat de 4 ans. Donc l’élection aura lieu l’année prochaine. Aucune candidature n’a encore été enregistrée.
En fait, l’actuel président de la Confédération africaine de football, est sur la sellette. Infantino a profité des déboires judiciaires du Malgache pour faire main-basse sur la CAF et mettre la confédération sous « respiration artificielle ».
Ces accusations seront profitables aux traditionnels candidats à la présidence, en l’occurrence le Marocain Faouzi Lekjaa, l’Egyptien Hani Abou Rida et bien évidemment le Tunisien Tarek Bouchamaoui.
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