Décidément, tout responsable sportif ne se lasse pas de défendre les intérêts de sa sélection et surtout son instance et même son pays, , au risque d’entrer en conflit avec les instances continentales ainsi qu’internationales.
C’est le cas du président de la fédération camerounaise de football (FECAFFOT), Samuel Eto’o. Ce dernier, et après avoir attaqué la FIFA concernant ses agissements en coulisses pour s’adjuger le titre de la 33e édition de la CAN 2022, il n’a pas ménagé récemment la CAF en ce qui concerne le sujet de ses allégations jugées « mensongères ».
Dans une correspondance adressée à la CAF, Samuel Eto’o s’en prend dans un ton ferme l’instance continentale sur une attitude qu’il juge irrévérencieuse envers la Fecafoot, comme l’a lancé son secrétaire général, Benjamin Didier Banloc : « La CAF ne peut contester raisonnement la régularité de notre relation contractuelle de plus de 14 ans avec le groupe SABC ».
Banloc poursuit de dire que « L’allégation que vous mentionnez est fausse et porte atteinte à notre intégrité morale (…) la Fécafoot se réserve le droit d’engager des poursuites judiciaires à la suite de ces propos diffamatoires ».
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