Après un premier communiqué publié par la FTF, le ministère des sports a démenti tout ce qui a été dit dans le communiqué de la FTF, qui à son tour a confirmé, par des documents officiels, dans un deuxième communiqué, tout le contenu de la correspondance du ministère.
Pour sa part, le CS Chebba s’est permis de se plonger dans cette bataille en publiant un communiqué dans lequel le comité directeur chebbien a souligné : “On suit avec un grand étonnement la panoplie de communiqués et déclarations qui ont soudainement explosé à ce moment particulier, pour cibler un club qui exerçait un droit garanti par la loi, et d’étouffer la bouche de tous ceux qui criaient la voix de la vérité, voulant être tenus pour toujours insoumis à l’autorité de l’État et hors des cadres de la loi”.
Le bureau chebbien s’est moqué du président du CA Youssef Elmi en écrivant : “Toutes les machines ont fonctionné en même temps, du tribunal et du canal de la fédération au parrain de la ruine en passant par les déclarations (Chams al-Haqq et Nour al-Chams) qui sont formulées dans les bureaux de la fédération et émises par son employé, Youssef Elami, qui n’a pas eu honte de l’histoire d’une grande association lorsqu’il a interrompu les rituels de la Omra et est revenu des lieux saints pour créer une agitation frauduleuse”.
Il a conclu : “Comme le football dans ce pays est incroyable … la simple pratique du droit d’une équipe garanti par la loi brouille un championnat, fait tomber des édifices et pousse les officiels et les professionnels des médias au bord de la folie … Mais à la fin , pourquoi être surpris ?”
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