L’Espérance Sportive de Tunis recevra, cet après-midi (14h00) à Radès, l’Etoile Sportive du Sahel pour le compte de la mise à jour de la 7ème journée de la Ligue 1.
Imbattable depuis un bon moment, l’Espérance de Tunis a réussi à réaliser une série sans défaite depuis le début de cette saison. En 9 matchs, l’EST a remporté 8 victoires et un seul nul face au Stade Tunisien à l’extérieur, pour occuper la deuxième place avec 4 rencontres en retard à disputer.
Avec un effectif un peu réduit, les Sang et Or seront privés à l’occasion de ce Classique de leur star Anice Badri, partant en Arabie Saoudite et du trio blessé, Sameh Derbali, Khalil Chammam et Kuamé Bonsu.
On ne change pas une équipe qui gagne
Pas d’inquiétudes pour les Espérantistes ! Mouiine Chaabani a déjà trouvé les remplaçants qui ont fait le boulot face à l’AS Vita en Ligue des champions, samedi dernier.
Bien évidemment, il n’est pas question de toucher à la formation qui a donné pleine satisfaction au Congo.
En contrepartie, les poussins de Garrido se déplacent cet après-midi à Radès avec un moral au beau fixe, avec pour mission de rester sur leur lancée.
Pour se relancer
Après avoir dominé Al Hilal Omdurman, samedi dernier en Ligue des champions, au Soudan, l’Etoile du Sahel aura l’occasion de se relancer dans la course du championnat.
La formation Etoilée reste sur une série contrariante en Ligue 1 où l’ESS n’a pas connu l’ambiance des victoires depuis le match contre le CS Hammam-Lif le 11 décembre 2019 (4-0). Les coéquipiers de Yassine Chikhaoui ont eu 3 défaites et un match nul de suite.
Msakni et Coulibaly en forme
Même s’ils ont déjà perdu du terrain en Ligue 1, les Etoilés gardent toujours l’espoir de pouvoir sauver leur saison à l’échelle nationale. Le Classique face au “Taraji” fait partie des objectifs que les hommes de Garrido devront atteindre.
Pour ce faire, le tacticien Etoilé continuera à faire confiance à l’attaquant ivoirien Souleymane Coulibaly qui s’annonce en forme, pour le troisième match d’affilée. L’ex joueur d’Al Ahly sera épaulé par Iheb Msakni dans les manœuvres offensives.
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