L’Espérance Sportive de Tunis entame aujourd’hui en Egypte sa campagne en Ligue des champions afin de prendre sa revanche sur l’histoire.
Depuis le 6 mars dernier, date de l’élimination des Sang et Or en quarts de finale par le Zamalek, les supporters, les responsables, le staff technique et les joueurs sont impatients de renouer avec la C1 africaine.
Pour son retour en compétition africaine, l’Espérance de Tunis sera opposé mercredi 23 décembre au Caire à 17h00 heure tunisienne, à Al Ahly Benghazi dans le cadre du match aller du deuxième tour préliminaire de la C1.
Après un début de championnat laborieux face à l’AS Soliman (2-2), l’Espérance a renoué avec les victoires devant l’USM et l’US Tataouine. Mais c’est contre Ahly Benghazi en Ligue des champions que la bonne santé doit être affichée.
Au Caire, l’équipe de Bab Souika sera privée de plusieurs joueurs et de son entraîneur Mouîne Chaâbani, ainsi que de son adjoint Majdi Traoui.
Pour cette entrée en matière, l’Espérance sera privée des services de Mohamed Ali Ben Romdhane, Khalil Chammam et Abderraouf Benguith qui ont été suspendus par la CAF, après le quart de finale de l’édition précédente contre le Zamalek.
Il en est d’ailleurs de même pour Chaâbani et Traoui.
Malgré les absences enregistrées au sein de l’effectif, Mouîne Chaâbani a débarqué confiant au Caire. Il dirigera l’équipe des gradins, puisque c’est Kamel Kolsi qui s’assoira avec Othmen Najjar sur le banc.
Pas d’inquiétudes pour le staff technique car des solutions existent pour remédier à toutes ces absences grâce à la richesse des ressources humaines dont dispose l’Espérance.
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